Voici une bien drôle d’histoire, celle de Billy Gibby, un Canadien enchaînant les boulots précaires mal payés il y a quelques années pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille. Billy a eu une drôle d’idée, faire de son visage et de son corps un véritable panneau publicitaire vivant et cela en se faisant tatouer les noms et logos de sociétés prêtes à mettre la main au portefeuille ! Mais voilà, à l’époque, la quasi-totalité des sociétés sollicitées par Billy déclinèrent l’offre, à l’exception de certains sites pornographiques. C’est ainsi que Billy se retrouva avec une grande partie du visage recouvert de logos de sites pour adultes, certains d’entre eux ayant déboursé jusqu’à 5 000 dollars pour avoir ce privilège.
Mais fort de ce premier « succès », Billy poussa l’idée encore plus loin en acceptant de modifier son nom de famille de manière officielle pour être rebaptisé du nom de Hostgator.com, site internet d’hébergement, qui déboursa pas moins de 14 000 dollars pour cela.Mais seulement voilà, comme on pouvait s’en douter, Billy finit par regretter de s’être fait tatouer des noms de sites pornos sur le visage (on imagine facilement la gêne que cela doit causer dans la vie de tous les jours), il souhaita donc se les faire retirer.
Mais effacer des tatouages au laser coûte cher, alors, pour financer l’opération, Billy a eu la brillante idée de remettre son corps en vente pour y faire de nouveau tatoué des logos de sociétés, et ceux jusqu’à 20 nouveaux logos. Billy souhaite désormais figurer dans le livre des records, le fameux « Guiness Book » comme étant l’homme arborant le plus de tatouages publicitaires au monde, un bien beau record qu’on lui souhaite de tout coeur d’obtenir…
La démarche de départ ne me gène pas, mais pourquoi les tatouages sont aussi moches ??? on dirait des dessins aux feutres…. Dans l’optique d’un support publicitaire, il me semble que la qualité et la précision dans le tracé des logos devrait être d’une parfaite réalisation.
Le pauvre gars passe du coup pour un loser qui s’est fait avoir… pad’bol !